Hynobius quelpaertensis Mori, 1928
Cheju Salamander Subgenus: Hynobius | family: Hynobiidae subfamily: Hynobiinae genus: Hynobius |
Species Description: Min et al.; Yang, S.-Y., Kim, J.-B., Min, M.-S., Suh, J.-H. and Suk, H.-Y. 1997. Genetic and phenetic differentiation among three forms of Korean salamander Hynobius leechii. Korean Journal of Biological Sciences: 247-257. |
© 2006 Henk Wallays (1 of 22) |
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Country distribution from AmphibiaWeb's database: Korea, Republic of
Author: Jean Raffaëlli
Hynobius (Hynobius) quelpaertensis Mori, 1928
Correspond au groupe B de Yang et al. Espèce presque indiscernable de H. leechii dont elle diffère par des caractères moléculaires et un plus grand nombre de dents vomériennes (37-42). Tache gulaire blanche chez le mâle en rut (obs. pers. 1984), qui présente alors une tête et des carènes caudales élargies et une coloration plus sombre. Hybride entre les groupes A et B connu. Deux autres espèces (clades 1 et 2) sont proches de cette espèce au niveau moléculaire (voir plus loin pour leur distribution). * Petits ruisseaux et leurs abords sur l'île de Cheju (ou Jeju, ex-Quelpart), l'île de Namhae et les zones côtières du sud-ouest de la Corée du Sud (Buan, Jangseong, Haenam, Jindo). Pontes découvertes sur l'île de Cheju en décembre par des températures à peine supérieures à 0°C (in Sparreboom). DD. Aisé à reproduire en captivité (Bouwman, Jamin, Maillet, Wallays et l'auteur). Il semble que le fait de soumettre les femelles à des températures proches de 15°C l’hiver favorise un développement plus rapide des œufs dans le corps, ce qui leur permet d’être déposés plus tôt, au moment de l’activité sexuelle du mâle (Bouwman, in Wallays, 2003). Les mâles peuvent rester aquatiques tout l’hiver. Très résistant en captivité. AT+. From Les Urodèles du Monde, 1e edition, 2007: Hynobius quelpartensis Mori, 1928 Correspond au groupe B de Yang et al. Ile de Cheju (ex-Quelpart) et îles (Keoje, Namhae, Chin-do) et côtes du sud-ouest de la Corée du Sud. Cette forme a souvent de petites taches noires et les parties dorsales envahies de jaune. Tache gulaire blanche chez le mâle en rut (obs. pers. 1984), qui présente alors une tête et des carènes caudales élargies et une coloration plus sombre. Hybride entre les groupes A et B connu. 6 596km2. DD. Aisé à reproduire en captivité. (Jamin, Maillet, Raffaëlli, Wallays, etc.). Il semble que le fait de soumettre les femelles à des températures proches de 15 °C l’hiver favorise un développement plus rapide des œufs dans le corps, ce qui leur permet d’être déposés plus tôt, au moment de l’activité sexuelle du mâle (Bowman, in Wallays, 2003). Les mâles peuvent rester aquatiques tout l’hiver. ENGLISH TRANSLATION - Julian Wittische, December 2011 It corresponds to Yang et al group B. Hynobius quelquepartensis has small black spots and yellow invaded dorsal sides. There is a white mouth spot in the male during the rutting period (personal observation 1984). The male also had an enlarged head and caudal keel as well as a darker color. Hybrid between groups A and B is known. Habitat & range : 6,596 km2. H. quelquepartensis lives in Cheju Island (ex-Quelpart) and other islands (Keoje, Namhae, Chin-do) and southwest coast of South Korea. Conservation
Its status is considered Data Deficient. Captive breeding is easy (Jamin, maillet,
Raffaëlli, Wallays, etc). Putting females under temperatures close to 15 °C during winter
seems to help eggs develop faster in the body, which enables them to be laid earlier,
during the male rutting period (Bowman, in Wallays, 2003). Males can be aquatic all winter
long.
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Citation: AmphibiaWeb. 2024. <https://amphibiaweb.org> University of California, Berkeley, CA, USA. Accessed 25 Nov 2024. AmphibiaWeb's policy on data use. |