AmphibiaWeb - Plethodon cinereus
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Plethodon cinereus (Green, 1818)
Eastern Red-backed Salamander, Red-backed Salamander, (Northern Redback Salamander)
Subgenus: Plethodon
family: Plethodontidae
subfamily: Plethodontinae
genus: Plethodon

© 2007 Frank Teigler (1 of 76)
Conservation Status (definitions)
IUCN Red List Status Account Least Concern (LC)
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CITES No CITES Listing
National Status None
Regional Status None
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bookcover Excerpts from Les Urodèles du Monde, 1st and 2nd editions and more recent updates, by Jean Raffaëlli (©2007, ©2014 by Jean Raffaëlli), used with permission. The 2nd edition of this book is available directly from the author: jean.raffaelli@laposte.net and from this website.

Author: Jean Raffaëlli

Plethodon cinereus (Green, 1818)

Subdivisé en quatre populations (groupes 1, 2, 3, 4) bien différenciées dont la distance génétique n’atteint pas encore le rang spécifique (Hass, 1985). Aurait pris ses origines dans le sud des Appalaches, au nord de la French Broad River, la forme suivante se trouvant au sud de cette rivière, qui forme une barrière naturelle entre de nombreuses espèces. La plus commune des formes du groupe, du sud-est du Canada vers le sud jusqu’à l’est de l’Illinois, l’Indiana, le nord du Kentucky, la Caroline du Nord et le nord-est du Tennessee, une population dans le Minnesota. 12,5 cm, membres courts, 18 à 20 sillons costaux, selon les groupes, les populations des Appalaches étant souvent plus courtes que celles des plaines. Deux variantes de coloration, l’une avec une bande dorsale large et droite s’étendant sur la queue, qui est arrondie. La bande peut être rougeâtre, rouge orange ou jaunâtre. Petites taches blanches à jaunâtres sur les parties supérieures et les flancs, qui sont sombres. L’autre variante est entièrement foncée, sans bande dorsale. Parties inférieures mouchetées de blanc et noir, formant un effet poivre et sel. Certaines populations comprennent les deux variantes, d’autres l’une ou l’autre. Certains individus sont jaunes ou albinos. Le mâle sexuellement actif se distingue par une glande mentonnière en forme de croissant, les prémaxillaires qui dépassent sous le museau, et une taille légèrement plus faible. Le jeune à l’éclosion mesure 2,5 cm et ressemble à l’adulte avec une queue beaucoup plus courte. Forêts de conifères et mixtes ou de feuillus, jusque dans les jardins des habitations. Généralement absent des sols acides, très rocheux ou très humides. De 3 à 15 œufs (6 à 9 œufs en moyenne) pondus en grappes dans les cavités du sol ou sous les roches et écorces enterrées, gardés par la femelle, déposés annuellement ou bi annuellement (Marvin, 1996). 1826 920 km2. LC.

Terrarium de sous-bois avec feuilles mortes, écorces et mousses, pas trop petit, car les animaux sont très territoriaux et défendent leur territoire en attaquant tout intrus. Trois mois au minimum de latence hivernale à 5 °C. Nombreux insectes et vers. Reproduit régulièrement par le FUG.

Selon une étude scientifique de Louisiane (Jaeger, 2003), les femelles de cette espèce puniraient les mâles qui se sont aventurés hors du territoire du couple et ont eu des contacts avec d’autres femelles. Une fois le mâle infidèle de retour, il est parfois agressé et attaqué par la femelle jalouse. Selon cette étude, il s’agirait de réactions, grâce aux phéromones, destinées à éviter que d’autres femelles s’aventurent dans le territoire du couple et mettent en danger la future progéniture.




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Citation: AmphibiaWeb. 2024. <https://amphibiaweb.org> University of California, Berkeley, CA, USA. Accessed 23 Apr 2024.

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